LES HONORAIRES

Conformément à son serment, Maître Gaëlle CAILLAT-MIOUSSE tient à être la plus transparente possible sur ses honoraires et a à cœur de présenter de façon précise toutes les diligences susceptibles d’être réalisées dans le cadre de la procédure choisie.

Avant toute procédure, elle vous reçoit à son Cabinet à SETE sur rendez-vous et propose également des consultations (réponse simple et conseils) par téléphone ou visioconférence.

Elle propose, en outre, une consultation plus poussée par écrit si tel est le souhait du client.

Chaque 1er rendez-vous aboutit à une estimation des honoraires dues et à la rédaction d’une convention d’honoraires, permettant de prévoir précisément les modalités de facturation.

⇒ Explication détaillée des diligences à effectuer lors du 1er rendez-vous

Montant défini des honoraires dès la fin du 1er rendez-vous

Convention d’honoraires établie dans chaque dossier

Une 1ère provision est demandée à l’ouverture du dossier ; une 2nde à la notification des écritures (autre cas de figure possible selon le cas) et le solde est demandé avant l’audience.

Facilité de paiement : possibilité de paiements échelonnés et acceptation de l’aide juridictionnelle

HONORAIRES DE CONSULTATION

⇒ Rendez-vous cabinet : 75 € (durée : 30 min à 1 h)

⇒ Consultation visioconférence : 75 € (durée : 30 min à 1 h)

⇒ Consultation téléphonique : 75 € (durée : 30 min à 1 h)

⇒ Entretien + consultation écrite simple (max. 800 mots) : prix de l’entretien + 90 €

⇒ Entretien + consultation écrite « poussée » : prix de l’entretien + 150 €

En cas d’ouverture d’un dossier, ces honoraires sont déduits des honoraires de diligence.

HONORAIRES DE DILIGENCES

Les honoraires de l’avocat peuvent être fixés de trois manières différentes : forfaitairement, au temps passé et/ou en fonction du résultat.

Maître Gaëlle CAILLAT-MIOUSSE privilégie généralement les horaires au forfait (somme forfaitaire à régler par provisions tout au long de la procédure) et au résultat (honoraire complémentaire calculé sur les sommes totales que le procès vous fait gagner ou économiser).

A titre indicatif, elle vous informe que son taux horaire est fixé 120 euros HT (taux pouvant être modulé en fonction des spécificités du dossier).

Paiements acceptés : chèque, espèces, virement.

AIDE JURIDICTIONNELLE

PROTECTION JURIDIQUE

Maître Gaëlle CAILLAT-MIOUSSE accepte de travailler à l’aide juridictionnelle (Loi n°91-647 du 10 juillet 1991 relative à l’aide juridique), afin d’aider les clients aux ressources les plus faibles d’accéder à un conseil juridique et d’intenter une procédure.

Maître Gaëlle CAILLAT-MIOUSSE accepte, également dans le cadre de la « garantie de protection juridique » (assurance souscrite, en général, parallèlement à la souscription d’un contrat d’assurance habitation/automobile/etc.), de traiter les dossiers susceptibles d’être couverts par ce mécanisme.

DISPOSITIONS APPLICABLES AUX AVOCATS EN MATIERE

D’HONORAIRES

 (REGLES DEONTOLOGIQUES – RIN)

Article 11 – Honoraires – émoluments – débours – mode de paiement des honoraires

Art. 10 ; D. 12 juill. 2005, art. 10, 11 et 12 ; D. 27 nov. 1991, art. 174 et s.

Art. 11 modifié par DCN n°2014-002, AG du CNB du 10-10-2014, Publié au JO par Décision du 13-11-2014 – JO 5 décembre 2014 | Modifié et renuméroté par DCN n°2015-003, AG du CNB du 12-12-2015, Publié au JO par Décision du 14-01-2016 – JO 16 février 2016

11.1 Information du client

Art. 11.1 modifié et renuméroté suite suppression de l’art. 11.1 Ancien par DCN n°2015-003, AG du CNB du 12-12-2015, Publié au JO par Décision du 14-01-2016 – JO 16 février 2016

L’avocat informe son client, dès sa saisine, des modalités de détermination des honoraires et l’informe régulièrement de l’évolution de leur montant. L’avocat informe également son client de l’ensemble des frais, débours et émoluments qu’il pourrait exposer.

11.2 Convention d’honoraires

Art 11.2 modifié et renuméroté par DCN n°2015-003, AG du CNB du 12-12-2015, Publié au JO par Décision du 14-01-2016 – JO 16 février 2016

Sauf en cas d’urgence ou de force majeure ou lorsqu’il intervient au titre de l’aide juridictionnelle totale ou de la troisième partie de la loi n° 91-647 du 10 juillet 1991 relative à l’aide juridique, l’avocat conclut par écrit avec son client une convention d’honoraires, qui précise, notamment, le montant ou le mode de détermination des honoraires couvrant les diligences prévisibles, ainsi que les divers frais et débours envisagés.

Détermination des honoraires

Les honoraires sont fixés selon les usages, en fonction de la situation de fortune du client, de la difficulté de l’affaire, des frais exposés par l’avocat, de sa notoriété et des diligences de celui-ci. L’avocat chargé d’un dossier peut demander des honoraires à son client même si ce dossier lui est retiré avant sa conclusion, dans la mesure du travail accompli.

Eléments de la rémunération

La rémunération de l’avocat est fonction, notamment, de chacun des éléments suivants conformément aux usages :

  • le temps consacré à l’affaire,
  • le travail de recherche,
  • la nature et la difficulté de l’affaire,
  • l’importance des intérêts en cause,
  • l’incidence des frais et charges du cabinet auquel il appartient,
  • sa notoriété, ses titres, son ancienneté, son expérience et la spécialisation dont il est titulaire,
  • les avantages et le résultat obtenus au profit du client par son travail, ainsi que le service rendu à celui-ci,
  • la situation de fortune du client.

11.3 Modes prohibés de rémunération

Art 11.3 modifié et renuméroté par DCN n°2015-003, AG du CNB du 12-12-2015, Publié au JO par Décision du 14-01-2016 – JO 16 février 2016

Il est interdit à l’avocat de fixer ses honoraires par un pacte de quota litis.

Le pacte de quota litis est une convention passée entre l’avocat et son client avant décision judiciaire définitive, qui fixe exclusivement l’intégralité de ses honoraires en fonction du résultat judiciaire de l’affaire, que ces honoraires consistent en une somme d’argent ou en tout autre bien ou valeur.

L’avocat ne peut percevoir d’honoraires que de son client ou d’un mandataire de celui-ci.

La rémunération d’apports d’affaires est interdite.

11.4 Partage d’honoraires

Partage d’honoraires (anciennement numéroté 11.5) Modifié par DCN n°2014-002, AG du CNB du 10-10-2014, Publié au JO par Décision du 13-11-2014 – JO 5 décembre 2014 | Modifié et renuméroté par DCN n°2015-003, AG du CNB du 12-12-2015, Publié au JO par Décision du 14-01-2016 – JO 16 février 2016

Rédaction conjointe d’actes

En matière de rédaction d’actes et lorsqu’un acte est établi conjointement par plusieurs avocats, la prestation de conseil et d’assistance de chaque intervenant ne peut être rétribuée que par le client ou par un tiers agissant d’ordre ou pour le compte de celui-ci.
Dans le cas où il est d’usage que les honoraires de rédaction soient à la charge exclusive de l’une des parties et à la condition que l’acte le stipule expressément, les honoraires doivent être, à défaut de convention contraire, partagés par parts égales entre les avocats ayant participé conjointement à la rédaction

Partage d’honoraires prohibé

Il est interdit à l’avocat de partager un honoraire quelle qu’en soit la forme avec des personnes physiques ou morales qui ne sont pas avocats.

11.5 Modes de règlement des honoraires

Art. 11.5 modifié et renuméroté par DCN n°2015-003, AG du CNB du 12-12-2015, Publié au JO par Décision du 14-01-2016 – JO 16 février 2016

Les honoraires sont payés dans les conditions prévues par la loi et les règlements, notamment en espèces, par chèque, par virement, par billet à ordre et par carte bancaire.

L’avocat peut recevoir un paiement par lettre de change dès lors que celle-ci est acceptée par le tiré, client de l’avocat.

L’endossement ne peut être fait qu’au profit de la banque de l’avocat, aux seules fins d’encaissement.

L’avocat porteur d’une lettre de change impayée peut agir devant le Tribunal de Commerce. Toutefois, en cas de contestation de la créance d’honoraires, il devra saisir son bâtonnier aux fins de taxation et solliciter le sursis à statuer devant la juridiction commerciale.

11.6 Provision sur frais et honoraires

Art. 11.6 Modifié et renuméroté par DCN n°2015-003, AG du CNB du 12-12-2015, Publié au JO par Décision du 14-01-2016 – JO 16 février 2016

L’avocat qui accepte la charge d’un dossier peut demander à son client le versement préalable d’une provision à valoir sur ses frais et honoraires.

Cette provision ne peut aller au-delà d’une estimation raisonnable des honoraires et des débours probables entraînés par le dossier.

A défaut de paiement de la provision demandée, l’avocat peut renoncer à s’occuper de l’affaire ou s’en retirer dans les conditions prévues à l’article 13 du décret du 12 juillet 2005. Il fournit à son client toute information nécessaire à cet effet.

11.7 Compte détaillé définitif

Art. 11.7 modifié par DCN n°2015-003, AG du CNB du 12-12-2015, Publié au JO par Décision du 14-01-2016 – JO 16 février 2016

L’avocat détient à tout moment, par dossier, une comptabilité précise et distincte des honoraires et de toute somme qu’il a pu recevoir et de l’affectation qui leur a été donnée, sauf en cas de forfait global.

Avant tout règlement définitif, l’avocat remet à son client un compte détaillé. Ce compte fait ressortir distinctement les frais et déboursés, les émoluments tarifés et les honoraires. Il porte mention des sommes précédemment reçues à titre de provision ou à tout autre titre.

Un compte établi selon les modalités prévues à l’alinéa précédent est également délivré par l’avocat à la demande de son client ou du bâtonnier, ou lorsqu’il en est requis par le président du tribunal de grande instance ou le premier président de la cour d’appel, saisis d’une contestation en matière d’honoraires ou débours ou en matière de taxe.

11.8 Responsabilité pécuniaire-Ducroire

Article créé par DCN n°2015-003, AG du CNB du 12-12-2015, Publié au JO par Décision du 14-01-2016 – JO 16 février 2016

L’avocat qui, ne se bornant pas à mettre en relation un client avec un autre avocat, confie un dossier à un confrère ou le consulte, est personnellement tenu au paiement des honoraires, frais et débours, à l’exclusion des émoluments, dus à ce confrère correspondant, au titre des prestations accomplies à sa demande par celui-ci. Les avocats concernés peuvent néanmoins, dès l’origine et par écrit, convenir du contraire. En outre, le premier avocat peut, à tout instant, limiter, par écrit, son engagement au montant des sommes dues, au jour où il exclut sa responsabilité pour l’avenir.

Sauf stipulation contraire, les dispositions de l’alinéa ci-dessus s’appliquent dans les rapports entre un avocat et tout autre correspondant qui est consulté ou auquel est confiée une mission.